Opérationnelle depuis le mois d’avril, la chaîne est constituée d’un automate de préparation et de tri relié par une chaîne de convoyage à deux lignes analytiques composées d’automates pour la réalisation de multiples examens (biochimie, hormonologie, dosage de médicaments, toxicologie…).
Dimensionné pour une activité 24/24 et 7/7, le système prend en charge l’ensemble des tubes arrivant pour examens sanguins et urinaires, soit un potentiel de 1000 tubes quotidiens. Fonctionnant avec deux techniciens de laboratoire, le dispositif a plusieurs avantages : des résultats obtenus plus rapidement par rapport aux anciens automates, baisse des quantités de tubes prélevés pour certains patients, traçabilité complète et vérification automatisée de la qualité de l’échantillon.
Des liaisons supplémentaires avec d’autres automates (hématologie notamment) seront effectuées dans les prochains mois, permettant une montée en charge du traitement pré-analytique des échantillons sur l’automate de tri. Le nouveau matériel représente un investissement de 1,8 millions d’euros, à quoi il faut ajouter 450 000 euros par an pour les réactifs et les consommables.